Le Festival de la Biodiversité, qui s'est déroulé à Cheylard du 21 au 23/08, a été l'occasion de se rassembler autour de thématiques diverses, et selon des approches toutes aussi diverses:
En effet, en plus des échanges, films, concerts en tout genres et temps d'animations qui ont jalonné ce week-end ensoleillé, de nombreuses conférences nous ont mis au devant des problématiques liées à la protection de l'environnement.
Notamment, les interventions de Jacques Weber, qui, par son approche d'une définition élargie de la biodiversité, nous place devant la nécessité de penser complexe et différemment ( "une prospérité sans croissance"... ) aujourd'hui si l'on souhaite réellement s'inscrire dans la durabilité.
L'exposition "ça bouge dans le bocage" avait entièrement sa place dans cet événement de par ces modules en lien avec la biodiversité ( "ça déménage dans le bocage" et "le bocage, lieu de toutes les rencontres") mais aussi en lien avec l'agriculture et la lutte intégrée ("une haie qui ne se prend pas le chou").
En effet, en plus des échanges, films, concerts en tout genres et temps d'animations qui ont jalonné ce week-end ensoleillé, de nombreuses conférences nous ont mis au devant des problématiques liées à la protection de l'environnement.
Notamment, les interventions de Jacques Weber, qui, par son approche d'une définition élargie de la biodiversité, nous place devant la nécessité de penser complexe et différemment ( "une prospérité sans croissance"... ) aujourd'hui si l'on souhaite réellement s'inscrire dans la durabilité.
L'exposition "ça bouge dans le bocage" avait entièrement sa place dans cet événement de par ces modules en lien avec la biodiversité ( "ça déménage dans le bocage" et "le bocage, lieu de toutes les rencontres") mais aussi en lien avec l'agriculture et la lutte intégrée ("une haie qui ne se prend pas le chou").
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